La
trêve
Fantasme dérivant au gré de ma cervelle
De spasmes déroutant qui assaillent mon cœur
Que n’ai-je du passé usé des demoiselles
Cherchant à picorer les miettes du bonheur ?
Chimères de vertiges procurés par icelles
Aux frasques avérées qui obsèdent mes heures
Que puis-je du présent offrir à l’hirondelle
Tenant à festoyer pour trouver le malheur ?
Orgasme agonisant au gré de l’atmosphère
De frissons de bonheur aux sévices du fer
Je réclame justice pour caresser le Graal
Ephémère jouissance aux délices d’enfer
Tes relents d’espérance aux délires amers
N’offrent d’armistice pour sauver l’animal.
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