dimanche 25 décembre 2016

Rameau de voeux

A vous tous nombreux consultants de mon blog, que vos plus beaux souhaits pour cette nouvelle année se remplissent des couleurs du bonheur...

Rameau de vœux

Il est une prophétie qui me touche
Celle de Daniel
Un soir de Noël
L’homme est-il un colosse aux pieds d’argile ?

Dès lors mieux vaut s’en remettre à Virgile
Témoin de l’Histoire
L’olivier y croire
Les serres d’aigle en tiennent le rameau.

La paix et la victoire en cadeaux
Pour l’humanité
Et la liberté
Font de l’harmonie un état sublime.

Qu’il se lève ou se couche, au but ultime
Astre d’occident
Étoile d’orient
Sont les précieuses fraternités du soleil.

lundi 19 décembre 2016

Ma fée

Il est des jours que j'aime plus que d'autres.




Ma fée

Mal fait 
Le Monde ?
Mais quel effet
Fait ma fée
Descendant des étoiles,
Beauté qui se voile
D’une lueur diaphane…
J’en suis fan
A l’envie
De cette goutte de vie
De ce grain de bonheur
De ce brin de saveur
De la joie du cœur.
Aime-toi poupée
Puis aime les autres,
Du verbe soit l’épée
Et de l’amour l’apôtre.


samedi 17 décembre 2016

Un signe de bonheur

Voilà une période propice à penser au bonheur... Il faudrait en faire un état permanent.




Un signe de bonheur

Beau trèfle à quatre feuilles
Vivifie le bonheur
Lorsqu’on passe le seuil
Des amours de confiance

Jolie patte à lapin
Petit porte bonheur
C’est au pied du sapin
Qu’il faut tenter sa chance

Petit brin de muguet
Petit brin de bonheur
Pour un amant pas gai
C’est un brin d’espérance

Ombré fer à cheval
Oracle de bonheur
Que j’aime la cavale
De l’espoir des vacances

Qu’un gentil Pér’ Noël
Apporte le bonheur
D’éphémères croyances
De façon éternelle


mardi 13 décembre 2016

A chacun sa route

De fil en aiguille, ou de fable en fable, en revoyant le film "L'auberge rouge" inspiré d'un fait réel, j'en ai composé ces quelques vers.




A chacun sa route

D'une route
On en fit la déroute
Et d'une maison grise
Une espèce de bouge
Aux portes de la nuit, sous le froid de la brise
La comédie humaine en attisa le rouge.
Qui fait que l’on vit là
Plutôt que dans les gorges ?
Qui sait que l’on égorge
A perdre sa vie là ?
Ce qui est si sordide
Dans l’affaire de l’auberge de Peyrebeille
Qui est plutôt splendide
Baignée par le soleil,
C’est de périr après avoir cassé la croûte
En touriste innocent oublieux de la montre.
Il n’est point de mauvaise route
Mais bien de mauvaises rencontres.