Du temps de l’émigrette
Amours de jouvencelle
englouties aux tréfonds
D’un cœur se débattant des
pulsions de l’absoute
Quoi qu’ayant subies les
oubliettes du doute
Vous voilà résurgentes à
l’essor d’un greffon.
De l’envolée de l’aigle
aux oublis des chiffons
Si imbibés de larmes et du sang goutte à goutte
Qui blessa le lion,
gambergeant la déroute
À n'oser plus croire qu'au
mythe du griffon.
Prémices de vie d’un univers
scintillant
Par pudeur et effroi fauchées
de faux-fuyant
Qui vit les ramener aux
mirages de l’œil,
Lises aux scories du temps
d'un volcan sommeillant
Pour une ultime étreinte
aux desseins foudroyants
Qui peut les ranimer des ravages du deuil ?
Qui peut les ranimer des ravages du deuil ?
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