Cette aquarelle me suggérait le chemin de la vérité...
C'est en approchant le prix du temps que l'on se rend vraiment compte que la vérité n'a pas de prix...
Voilà donc l'objet de ces quelques rimailleries...
À vil prix
Il regarde la lune
Dans son croissant
d’argent
C’est bien là toute sa
fortune
Voyez-vous, braves gens.
Il vaut mieux perdre ses briques que l’amitié
Mais Pierrot est parti
emmenant sa moitié
Ainsi que tous ses biens,
qu’il en a mal dormi
C’était son cher ami.
Il regarde le ciel
Au coucher du soleil
Ce cercle d’or artificiel
Dont nul n’a la pareille
Notre amour de l’oseille
est la base du mal
Quand Zénon est parti avec toutes ses malles
Et ses quelques liasses
gardées en numéraire
Il a perdu son frère.
ll regarde l’étoile
C'est vraiment magnifique
Pensant à l’os à moelle
Pensant à l’os à moelle
De richesse substantifique
Le fric livre le vice et
cache la vertu
Quand Filia est partie à
demi dévêtue
Emportant, l’eusses-tu
cru, sa chatte, amant, argent,
Il n’avait plus d’enfant.
Il regarde l’aurore
Sans aucune rancœur
Qui éclaire son vrai
trésor
Tout au fond de son cœur
Pilleurs, ce qui a un prix
n’a pas de valeur
Le vif argent n’est pas l’amour,
plutôt un leurre
En délaissant vérité qui n’a
pas de prix
Son seul bien de valeur... Vous n’avez rien compris.
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