Le vécu fait des jours plus tristes que d'autres... En quête d'inspiration, comme dans les châteaux du moyen âge où discouraient de l'histoire humaine, les troubadours, une pluie de larmes sur les barques du passeur d'âmes et du temps qui passe...
Frottements de la viole
Dès lors la haine n’est pas vaine
Car il n'est plus d’excuse
Feu l’amour fut un jour en veine
Éventreur à l’obscène étrenne
On sait que tout t’accuse
Dès lors la haine n’est pas vaine
Jolie poupée de porcelaine
Fleuron fané, confuse
Feu l’amour fut un jour en veine
Cruelle est la hyène malsaine
L’Attila qui abuse
Dès lors la haine n’est pas vaine
Fini le bouquet d’oxygène
Pour l’ombre ivre et diffuse
Feu l’amour fut un jour en veine
Voir le bourgeon qui se gangrène
D’une raison obtuse
Dès lors la haine n’est pas vaine
Enfer ! Sus au croquemitaine
Fers au violeur de muse
Feu l’amour fut un jour en veine
Quand choira vilaine rengaine
On choiera la recluse
Feu l’amour fut un jour en veine
Dès lors, la haine n’est pas vaine
De très belles couleurs pour cette aquarelle ce bleu et le calme de cette étendue d'eau apportent un apaisement apres ces tristes événements.
RépondreSupprimerJ'aimerais beaucoup pouvoir relire tous ces poèmes dans un recueil...
RépondreSupprimerBientôt ?
Très chère Danielle, Merci pour la relance. Personnellement je l'espère vivement... Mais cela dépend pour beaucoup de l'éditeur
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