Je
m’étonne
Je m’étonne
D’un tel automne
Qui foudroie le lambrisseau
Aux frimas d’un sursaut
Qui annonçait le renouveau.
Complètement aphone
Au verdict qui sermonne
L’amour du héros
Ou l’esprit du héraut
Je déraisonne
De l’émoi qui brise les sceaux
Pour l’apocalypse d’un sot.
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