Le rameau d’olivier
C'était un jour de juin, un
matin d'infortune
Que mon ange de foi à l’amour résolu
Vers d’autres cieux ayant préféré l’absolu
S’est en aller de Terre oubliant nos lacunes.
Que mon ange de foi à l’amour résolu
Vers d’autres cieux ayant préféré l’absolu
S’est en aller de Terre oubliant nos lacunes.
Dans le bleu de l’immense
infini dissolu,
Du calme, empreint de douceur
de lueur de lune
Je contemple du ciel
les étoiles une à une
Espérant trouver laquelle a eu
son dévolu
En admirant le bel univers qui
scintille
Souffle coupé, la larme à l’œil, le cœur en vrille
Souffle coupé, la larme à l’œil, le cœur en vrille
Je honnis ce destin que la
faux m’a soustrait
Qu’un rameau d’olivier me serve d’apostille,
Qu’un rameau d’olivier me serve d’apostille,
D’offre de paix, de ma prison
ouvrir la grille,
Mélopée nostalgique absolvant
le secret.
Ces vers sont très beaux.
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