L‘averse
Un ciel étoilé
De son cocuage
Se vêt de nuages
Sombres et collés
Du noir ciel crevé
S’abat tel un fer
Livrant sa colère
L’ondée abreuvée
Crépite l’averse
Forte, vive et brève
En rompant la trêve
Du silence adverse
Ainsi chaque goutte
Au bruit mat et sourd
Mouille l’alentour
Embrouille les routes
Beau boucan du temps
Effet d’une trombe
Qui s’enfle et puis tombe
Instantanément
Bien souvent de tristes nouvelles
RépondreSupprimernous inondent comme une averse, puis ruissellent. D'autrefois l'averse qui éveille notre esprit nous apporte les fleurs du bonheur.
On ne traverse pas une vie sans "averse".
Belles rimes.
ID