Comme
quoi
Comme un malade on fonce
Mais comme lui aussi on pleure
On fonce aux folies des jeunesses absconses
On pleure au délire de l’âme qui se meure
Comme un bouchon on s’enfonce
Mais en cure comme lui aussi on déguste
On s’enfonce dans les tréfonds obscurs de la défonce
On déguste tous les nectars murs d’une vie injuste
Comme une fleur on s’annonce
Mais comme elle aussi des pétales on se leurre
On s’annonce dans la société létale que l’on dénonce
On se leurre d’un infini fleuri et borné de bonheur.
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