L’ivresse de la pluie
La sublime averse
Inonde les eaux
Que l’art me berce
Glorifiant le beau
La muse m’abuse
Elle est récluse.
Le long lac martèle
La vraie complainte
De la pluie du ciel.
Par cette étreinte
Elle m’amuse
De vaines excuses.
Le cycle de l’eau
En amour caresse
Le présent cadeau.
De longue ivresse
D’un sang qui diffuse
L’amour qu’il transfuse.
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