Le crâne embastillé
Esprit essarté des volutes
Du prix escompté de ces luttes
Un doute glissait
Dans cette solitude
Emportait la clé de la porte
du crâne, cachée
Lettré du gratitude
Tout seul en prison.
L’âme assoiffée de liberté qui sonne,
Se sauva comme carillons qui claquent
Aux vents délétères qui craquent
Sombra, comme un navire, sur une mer encombrée
Asphyxiée, tuméfiée et unique ; elle est
glorifiée
Par le sombre silence
D’une souffrance.
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