Je pense fortement à lui.
Mais si
Avec un « si »
Solitude
Ici
Serait ainsi
Sollicitude
Aussi
Mais que nenni !
Point de Messie !
Mais si,
Une certitude
Cette porte qui claque
Dans ma tête
Au suaire de linge
Froissé
Qui la recouverte
Pour les remue-méninges
De mon visage
Défait.
La servitude
Dans ce lit clic-clac
Secrète saynète
D’une marionnette
Sur la sellette
De l’infamie qui claque.
Ce crâne de turpitude
Dont j’entends
Un bruit violent
De forte solitude
Qui crie : « Assez ! »
Cette lassitude
Qui reprend
Au tic-tac
Du destin
Un cognac
Assassin
Malsain
De quiétude
Pour une peau qui exsude
Ses plaques
De chagrin.
Enfin
Oublier le cloaque
Pour une autre aptitude
Que le cul de sac
Du traversin
Qui élude
L’image d’un sein
L’icône d’un Saint
Rassurant
Mais laissant
La peur du trac
De la solitude
Corrompre
L’hypocondriaque
Absurde.
J’ai mal !
Du coup de Jarnac.
Empreint d’ingratitude
Fric-frac
Amoral
Véritable traque
D’un mac
Ignoble maquignon
Asocial
Du pognon
Créateur de micmac
Adepte
Inepte
D’abus de bien social.
La rupture de servitude
Sonna le glas
De la poisse
Lissa le verglas
Glissant à l’angoisse.
Licencié à vingt ans
Vive les études
Mais à cinquante ans
Remercié
Déprécié
C’est plus rude !
Alors les certitudes
S’envolent !
Caracole
La prière fantasque
A Sainte paroisse
De l’inquiétude
Qui froisse,
Prélude
D’une plongée au lac
De la solitude.
Horreur !
Malheur !
Car de la solitude
On ne se remet pas
On en reste patraque
A vie
Sans plus aucune envie
Des Bermudes
Fini le crack
Les gratitudes
Le cardiaque
Devient maniaque
Et réclame d’une rude
Attitude
Plutôt du crac
Que de porter le frac
De Latude
Ne plus subir ric-rac
L’effroyable ressac
Qui projette
La tête
Dans le sac
De la Guillotine
Des zénitudes !
Comment du tac au tac
Rêver d’une habitude
Aphrodisiaque
Une
latitude
Une
longitude
Une
nouvelle amplitude
De
contre-attaque
Pour
sauver sa baraque
Humaine
Des
décrépitudes
Imposées
en vrac
Par
les vicissitudes
De
la rude
Et
démoniaque
Solitude
En
vain.
Quelle force... Quel rythme... Excellent
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