L’envol
Au vent des insomnies
J’imagine l’effraye
Transmission d’infini
Qui jamais ne m’effraie
La vigie dans son trou
d’ormeau.
Quoi de plus beau
Quoi de plus chouette
De penser sous la couette
A la dame de nuit
Quand elle mange les
serpents
De mes ennuis
Me faisant le serment
Quand je me nuis
De museler l’égo.
Dans son vol silencieux
Je suis sans distinguo
L’enfant qui monte aux
cieux
Endormi par la chouette
Dans son ultime pirouette
De trajectoire d’abeille.
Le rêve est fable du
sommeil
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