L'inconditionnel amour
Dans l’immense silence, océan de souffrances
Jamais de ces années je n’ai pu oublier
L’annonce ; mon doux cœur en a été charrié
Aux averses de larmes et des rais d'espérance
Les uns nous réchauffent, quand les autres nous mentent
De ces halos et ombres fantasmagoriques
Qui transforment les nuits en rêves fantastiques
Au matin, s'estompant d'une obscuration lente
Des mots de réconfort, pour oublier nos maux
Ces tendres caresses ciselant nos émaux
Il n'est rien de plus beau que les mots de l’amour
Bel ange Gabriel n’ai-je écouté tes mots
Que pour sauver le monde du malheur des égos
En sacrifiant mon fruit sur un autel si sourd ?
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