Pour en finir enfin
Au bord du trou, le soleil caressait mon corps
Que tourmentait l’esprit épris de liberté
Cette larme d’effroi d’approcher Astarté
Coulant aux ressacs des eaux qui cognaient si fort
Trouver le courage de cette envie de fuir
Pour ne plus rien penser, se laissant emporter
Au gré du vif courant empreint de pureté
Se perdre enfin dans l’abysse ardent qui attire
Envoûté par les flots des chapelets de vagues
Qui me murmuraient : « vient », c’est
le sens adamien
Qui d’un souffle me sauve à la pensée des miens
J’oppose les icônes aux desseins qui divaguent
Je contemple la mer et lui hurle en païen
Que je dois à ma mère un sauf-conduit freudien.
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