Les mauvaises nouvelles frappent encore de plus belle... Les souffles de ma muse sont ainsi plus propices à influencer ces sombres rimes de mauvais temps.
Assez des verts pâturages !
Soudainement
On choit si gravement
Dans un décor crépusculaire
Que nos chuchotements
Émis dans un soupir
catilinaire
Devant le rideau rouge sang
Du théâtre de vie gaillarde
Tombant d’un coup sur
l’horizon des derniers jours
Maudissent la bâtarde
Brutalement
On ploie si lourdement
Sans pouvoir assécher ces
larmes
Du choix des errements
Qui nous obligent à déposer
les armes
En dégorgeant le mauvais sang
Dans un vertige sans rambarde
Ou l’on comprend que tout va
mal autour
D’injures à la poissarde
D’injures à la poissarde
Finalement
On croit trop fortement
Se débattant à contre sens
A l’espoir mort vivant
Devant la vérité qui nous offense
Au chemin étoilé en passant
Devant la vérité qui nous offense
Au chemin étoilé en passant
Tout près de la lune blafarde
Que la barque à Caron pour ce
dernier détour
Bernera la camarde
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