Le
bas des portes charnelles
A l’enfant Je susurre la blessure qui procure la mort
sûre
Les douleurs du fatal ont l’aberrance de la quémande
De sarabandes au fil des claymores
A estoquer le pantin…
Pourquoi dévorant la vie
On ne dégote que mort
Dans notre habit d’alouvi
A ne plus lâcher les mors ?
A l’adolescent Je suppute l’uppercut qu' éructe la
brute
Les lueurs du fanal ont l’attirance des bandes
Pour une offrande aux dieux des morts
A flagorner le destin…
Pourquoi affouillant la haine
On ne déniche point d’amour
Ventre affamé d’hyène
A glorifier la géhenne ?
A l’amant je dégoise sur l’ardoise d’une toise qui
débourgeoise
Les odeurs du canal ont l’allégeance des prébendes
De commandes de doges matamores
A vendanger l’instinct…
Pourquoi requérant la mort
On ne décèle qu’envie
Aux vilénies de nos remords
De décès en récusant l’avis ?
Au vétéran je subodore encore un effort aux aurores du
sort
Les saveurs du banal ont l’appétence gourmande
D’une réprimande de croquemort
A faire dégorger le festin…
Pourquoi cherchant l’amour
On ne trouve que haine
Au débotté de nos détours
En découvrant la morte plaine ?
La vie ce beau mensonge
Qu’on aime, j’y songe
La mort la triste réalité
Qu’on hait, sans l’ébruiter.
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