Malgré quelques tentatives faites en d'autres siècles, pour introduire dans la poésie des strophes composées de trois vers, le tercet n'a point été adopté par l'usage. Mais si le tercet ne forme pas un modèle de strophe reconnu, j'entends l'utiliser ici pour vénérer trois lumières. Ils sont vifs, pétillants, positifs, amusants, visionnaires, humoristes, si doués et clairvoyants et surtout ils ont gardé leur candeur d'adolescents.
Les trois phares
J’ai pour Jean d’Ormesson
Que de l’admiration
Avec lui aucune contrefaçon
Quant à Michel Onfray
Je me suis engouffré
Dans l’univers où tout est déchiffré
Avec André Brahic
Tout semble allégorique
D’une tonicité astronomique
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