À fleur de peau
Pour vivre,
il n’est point de fardeau plus lourd
Qu’affolement
Pour la
vie d’un enfant
Sans
pouvoir d’amour lui porter secours.
La pluie
de mes peines un jour asséchée
Que le
doux zéphyr vente la psyché
D’aimer
sans fin, le souvenir du don
Ravive-t-il
Les
alluvions fertiles
Fécondées
des flèches de Cupidon ?
La pluie
de mes peines un jour asséchée
Que le
doux zéphyr vante la psyché
Transmettre
enfin, point de plus belle offrande
Qu’un
descendant
Voilà le
remontant
Le plus
fort présent que la vie nous tende.
La pluie
de mes peines un jour asséchée
Que le
doux zéphyr vante la psyché
L’âme
engagée du cycle des jours
Veut
témoigner
Même un risque
éloigné
Pour vivre
il n’est point de fardeau plus lourd.
La pluie
de mes peines un jour asséchée
Que le
doux zéphyr vente la psyché
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