Sorcières
Dans la forêt des ronces,
elles errent faméliques
Entre déserts et ergs elles
filtrent leurs essences
Dans ce sang virginal qui
ne donne naissance
Qu’aux onguents de
sorcière envenimant des cliques.
La souffrance du mal,
médiévale relique
Supplicie le vulgaire au
doute d’impuissance
Instille maladie de la
déliquescence
Effraie, corrompt,
tourmente et rend mélancolique
La femme se veut être
possédée par l’homme
Mais non pas par le
diable à en tuer l’axiome
Pour transmettre la vie à
notre devenir.
Car la vie affronte la
mort et la démasque
Des Parques tyranniques il
faut tomber le masque
La terre dévastée se
mettra à fleurir.
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