Comme le dit Rex Desmarchais dans "Le Feu intérieur" : L'absence grandit l'être aimé, le pare des qualités que souvent il n'a pas, estompe les défauts qu'il a. Cette idée m'a inspiré ces vers...
A l’absent
Il
faut que je te le dise cent, mille fois
Enfouissant
mon espoir
Combien j'ai été heureuse le soir
Où sur mes lèvres un doux baiser tu déposas
Il faut que je te le dise cent, mille fois
Jamais je n'ai pu oublier
Combien j'ai été heureuse le soir
Où sur mes lèvres un doux baiser tu déposas
Il faut que je te le dise cent, mille fois
Jamais je n'ai pu oublier
Au
gré du sablier
Cette
première fois
Où dans cette rue sombre
Où dans cette rue sombre
Et
de ces froides pierres
Tu m’as aimé dans la pénombre
Tu m’as aimé dans la pénombre
Inondant
de lumière
Mon
cœur d’autrefois
Il
faut que je te le dise cent, mille fois
Je croyais au futur
Où les vraies amours durent
Je croyais au futur
Où les vraies amours durent
Pensant de bonne Foi
Que tu serais toujours à moi
Que tu serais toujours à moi
Mon
amour
La
vie n'est pas toujours
Celle à laquelle on croit
Celle à laquelle on croit
Enivrés des
rayons de feu
Des chauds émois des jours heureux
Des chauds émois des jours heureux
Mon âme tremble et meurt
de toi
Mais depuis tant d'années, je l'ai dit cent, mille fois.
Mais depuis tant d'années, je l'ai dit cent, mille fois.
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