Les moucherons, le pompile et l’araignée
Qui ne connait l’histoire
De la cigale et la
fourmi ?
Mieux vaut partager le
pouvoir
Pour s’éviter les
pandémies,
L‘union des différences
Fait force collective
Prônant plus d’amour que
de haine destructive
Afin d’éviter les
souffrances.
Mais toute économie
Pour notre chaine
alimentaire
Tout en corrigeant les dévers
Lie travail et autonomie :
Ainsi coccinelle utilise
puceron,
Un créateur, un tâcheron.
Mais à n’y prendre garde
Le vil prédateur fait sa
toile
Où l’on en perd sa bonne
étoile
Sans plus de sauvegarde.
Lors l’énorme araignée
Chélicères acérées
Piègent les moucherons
Et tuent les fanfarons.
Si beau est l’incendie
Fini la comédie,
Entre le rouge et brun
Ils cherchent la lumière,
L’espoir de doux embruns
Le pompier des prières.
Certes il existe le
pompile
A l’aiguillon vaillant
Sur cette toile se
précipitant, habile
En évitant les fils
gluants
Il va livrer combat
A ces haines et
peurs !
Pour les libertés le débat
C’est point de dictateur
Dit qu’on vit et on meurt
En fonction de l’idée
Que l’on a de soi-même,
Ne se laissant intimider
Pour annihiler les
extrêmes.
Gardons-nous des
engagements
Du : « Ce n’est
pas la mer à boire ! »
On se plaint tous de la
mémoire
Jamais du jugement.
Excellent ! Juste excellent ! Bravo pour cette belle fable Daniel
RépondreSupprimerYvonne