Ombres
obsessionnelles
L’exhalaison de ses vestiges
De cette beauté tombée en ruine
Me corrèle un grand vertige
Réitérant au cœur de ma poitrine
Les pulsations de l’ivresse de l’amour.
La souvenance de ses courbures
De cette vénusté aux yeux de braise
Me rappelle une brûlure
Ciselant dans ma tête la genèse
Des palpitations de l’extase de l’amour.
L’appétence de ses désirs
D’une majesté au trône ébranlée
Me remémore un plaisir
Assujettissant mon esprit aux scellés
Des frissons de la volupté de l’amour.
La perpétuité de ses convoitises
De cette Galatée disposée à souffrir
Me confirme la sottise
Estampant dans mon âme le souvenir
Des prémices de ce chagrin d’amour.
C'est toujours avec grand plaisir
RépondreSupprimerque je découvre vos fables et
poèmes.
Particulièrement ces lignes "ces ombres obsessionnelles".
Alain L.