La
mise au secret
La prudence du sage a fait armure
Aux appâts d’une harpie qui torture
D’un amour infernal tous les jocrisses
D’une éternité gorgée de délices
Jusqu’à ourdir la Parque qui murmure,
Hélas ! Que les sentiments de froidure
Marquent du temps sur la peau les griffures
Pour que l’on souffre encore de sévices
Afin que l’homme expire pour ses vices
Jusqu’à ouïr la camarde qui susurre,
Haro ! De vivre on garde les souillures
Du sang, du cœur, justes éclaboussures
Dont le ciel n’occulte que les abysses
Des fois d’âme, pantins de corps duplices
Jusqu’à entendre la mort qui emmure.
Aux appâts d’une harpie qui torture
D’un amour infernal tous les jocrisses
D’une éternité gorgée de délices
Jusqu’à ourdir la Parque qui murmure,
Hélas ! Que les sentiments de froidure
Marquent du temps sur la peau les griffures
Pour que l’on souffre encore de sévices
Afin que l’homme expire pour ses vices
Jusqu’à ouïr la camarde qui susurre,
Haro ! De vivre on garde les souillures
Du sang, du cœur, justes éclaboussures
Dont le ciel n’occulte que les abysses
Des fois d’âme, pantins de corps duplices
Jusqu’à entendre la mort qui emmure.
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